LES INROCKS FESTIVAL

  • dim. 20 nov. 2016

  • 19:00

Évènement terminé

Billets

Première partie

Organisateur

ALIAS

ASSIS / DEBOUT (placement libre, place assise non garantie)

PASS JOUR (donne accès aux concerts de La Cigale le 20/11/2016) : 30,50 €

PASS 1 JOUR (donne accès aux concerts de La Cigale et de La Boule Noire du 20/11/2016) : 39,50 €

PASS 3 JOURS (donne accès aux concerts de La Cigale et de La Boule Noire du 18/11/2016 au 20/11/2016) : 99,00 €

 

ATTENTION : LES PASS JOUR 1 ET PASS 3 JOURS SONT À RETIRER  AU GUICHET DE LA CIGALE

 

Ouverture des portes 18h30

ADAM NAAS (19h10)

Adam Naas est un discret. Il lui aura d’ailleurs fallu du temps pour s’exposer. Pourtant, lorsque le jeune parisien de 24 ans dévoile en 2015 Fading Away, sa première missive voluptueuse, le coup de coeur est immédiat. Car on ne peut se sentir que bouleversé par cette voix de crooner, sombre et envoûtante, posée sur des mélodies envoûtantes, à la frontière de la pop, de la soul et de l’électro. Avec élégance et sans le moindre chiqué, cet esthète promis à la gloire fêtera sur scène la sortie d’un premier EP déjà marquant.

 

FORMATION (20h05)
Les jumeaux Will et Matt Ritson, originaires du sud de Londres, ont démarré il y a un peu plus de deux ans Formation, un des groupes les plus excitant du moment outre-Manche. Duo disco-punk comparés à Liquid Liquid, The Rapture ou LCD Soundsystem, ils allient basses pulpeuses et cow-bells à des grooves sensuels et obsédants sur lesquels vient se poser le flow énergique et désinvolte de Will. À la suite des EPs Young Ones et Under the Tracks – qui leur ont valu une nomination aux derniers NME Awards – et en attendant un premier album d’ici la fin de l’année, ils publient le tonitruant Pleasure, réalisé en collaboration avec le DJ et producteur Leon Vynehall.

 

 

CASSIUS (21h20)
Après 5 ans d’absence, Cassius est de retour avec « Ibifornia », pour un album double-face où se retrouve toute leur bande de potes (Pharrell, Cat Power, Mike D des Beastie Boys, M…), surnommé affectueusement par le duo comme leur Cassius and Family Stone. Un « Ibifornia » en forme de double effet kiss-cool, avec une face A en forme de virée exaltante et trépidante sur les traces d’un afro-disco-funk qui n’a pas fini de faire trembler les dancefloors. Et une face B mutée en road trip mélancolique à l’ombre des palmiers de la côte ouest. Un album parfaitement en phase avec son époque, à la fois complexe et jouissif, référencé et inventif, où résonnent les deux principales obsessions de Cassius : l’hédonisme d’Ibiza et la douceur de vivre de Californie. Bref, on a connu pire !

 

 

 

 

 

 

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